
Cher Journal,
Je ne t’ai pas encore raconté ma dernière bataille. Ni celles d’avant d’ailleurs mais chaque chose en son temps. Le coup a été rude. Et ce d’autant plus que je ne l’ai pas vu venir. Pour faire simple, je sortais de convalescence quand c’est arrivé et je venais de finir ma formation. Je me sentais un peu comme l’oiseau qui allait reprendre son envol ! Sauf que la foudre s’est abattu sur lui au moment où il s’apprêtait à sauter de sa branche. C’est ça que je vais te raconter aujourd’hui, sous la forme d’un journal.